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TOMMY CARDARELLI SULLA STAMPA FRANCESE

TOMMY CARDARELLI SULLA STAMPA FRANCESE

Un bell’articolo apparso sulla stampa francese ricostruisce il profilo professionale e la carriera artistica di Tommy Cardarelli, attualmente impegnato in veste di organizzatore nella tournée del circo della famiglia Casartelli in Francia. In Italia Tommy non ha bisogno di presentazioni, ma fa molto piacere vedere che all’estero viene apprezzata la professionalità italiana, sia per quanto riguarda la parte artistica (con la consueta scritture di artisti e in questo caso di un intero complesso italiano), ma anche per quanto riguarda la logistica e la direzione degli spettacoli.

Tommy Cardarelli: itinéraire d’un enfant du cirque, devenu super régisseur

Ce soir, place à la première représentation d’Aladin, du cirque Casartelli. Avec 63 caravanes et un chapiteau de 2 000 places, faire vivre un spectacle pareil n’est pas une mince affaire. Heureusement, c’est Tommy Cardarelli qui est aux commandes. Rencontre avec un enfant du cirque, devenu super régisseur à la carrière internationale.

TOMMY CARDARELLI SULLA STAMPA FRANCESE

À côté des chapiteaux dressés sur le parking Lacuzon, il s’agite, Tommy Cardarelli. Passant du français à l’italien, sa langue maternelle, cet enfant de la balle s’occupe de la logistique. Règle des petits détails, des gros soucis, veille à l’installation des chapiteaux, des barrières de sécurité. À 14 h 30 est attendue la commission de sécurité, mais l’urgence du moment, c’est de trouver de la terre pour installer la piste.

« Dans le cirque, tous les quarts d’heure il y a un problème », glisse Joël Alain, le producteur du spectacle. Heureusement, Tommy est là. « Il est arrivé il y a 9 ans, il s’est fait sa connaissance du terrain. » Celui-ci et plein d’autres : depuis des décennies, cet italien de 56 ans sillonne une petite partie de l’Europe pour organiser des événements, pour lui et pour les autres.

Dans la grande famille du cirque, Tommy Cardarelli est « un personnage ». Un homme connu et demandé. Son agenda en témoigne : après avoir tourné dans le Nord pour le spectacle de cirque de Noël de Joël Alain, il partira à Monaco « pour travailler sur un festival avec la princesse Stéphanie ». Puis il à prévu de travailler en Italie, pour Vinicio Togni. Surtout, l’homme est un habitué d’une des manifestations les plus célèbres du cirque, le festival international de Monte-Carlo.

Le joker

Comme beaucoup de circassiens, Tommy Cardarelli est tombé dedans petit. « Je suis de la quatrième génération d’une grande famille, du côté de ma grand-mère. » C’est la famille Togni, justement (Vinicio est « un cousin »). Lors de ses premiers pas sur une piste, il avait six ou sept ans. À 14 ans, il quitte l’école. Et fait de tout : « des numéros de haute école avec les chevaux, du trapèze volant, de l’acrobatie, du trampoline élastique. Ils m’appelaient le joker du cirque, parce que j’avais plusieurs rôles », sourit-il. Mais à un moment, comme il dit, « il faut faire des choix. Alors, j’ai arrêté de faire l’artiste à 28 ans et je me suis spécialisé dans la régie du spectacle de cirque ».

Depuis trois décennies, il ne fait que cela. Du festival de Grenoble à Monte-Carlo, en passant par le festival du cirque de Latina, près de Rome.

Mais dans ce parcours, il y a une infidélité : « J’ai été directeur pendant trois ans d’un grand parc d’eau. » Point commun entre un parc d’attraction et un cirque ? « On gère des gens. C’est facile pour moi, de gérer les gens », confie Tommy.

Organiser, encore et toujours… Il le concède, Tommy Cardarelli : oui, il est un peu fatigué. Et oui, c’est stressant. En grande partie à cause d’un « système » qu’il aimerait changer : « Ça doit être un peu plus organisé » quand les troupes débarquent sur les sites où doit se produire le spectacle. Surtout qu’« un cirque, c’est une ville qui se déplace », avait imagé Joël Alain juste avant. Cela dit, Tommy comprend bien « que les villes n’ont pas que ça à penser ». Et puis, les choses « ont avancé ». Par rapport à une époque

Malgré tout, pas question de lâcher l’affaire maintenant : « Je pense que j’ai encore 50 ans devant moi », confie le quinquagénaire, tout sourire. Mais revenons au présent : hier matin, à la fin de notre entretien, de la terre avait été trouvée pour la piste, et l’installation des 63 caravanes de la famille Casartelli était bien avancée. C’est un peu ça, la philosophie – et la magie – du cirque : à chaque problème, sa solution.

11/12/2013 17.35.40

 

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